L’action des cordes vocales
: cette action joue un rôle très important pour la distinction des
consonnes entre elles. lorsque les cordes vocales vibrent lors de la
prononciation d’une consonne, celle-ci est dite sonore le cas de [b], [d], [g], [v], [z], [ʒ] par exemple
Lorsque les corde vocale ne vibrent pas, les consonnes produites lors de la prononciation est dites sourde exemple [p], [t], [k], [f], [s], [ʃ]
L‘action du voile de palais : si le voile du palais et relâché et abaissé, l’air porteur du vibration s’écoulera à
la fois par le nez et la bouche. on a alors des nasales comme [m], [n], mais quand le voile du plais est soulevé, les consonnes produites seront orales tels que [p], [k], [r], [s], [ʃ]. en conclusion, chaque consonne se définit selon quatre traits articulatoires :
===> On remarque qu’il y a de manière presque systématique des « couples » de consonnes sourdes/sonores [p], [b]/[t], [d]/[k], [g]/[f], [v]/[s], [z]/[ʃ], [ʒ]
Semi-consonnes ou semi-voyelle : on Français il y a trois Semi-consonnes :
Lorsque les corde vocale ne vibrent pas, les consonnes produites lors de la prononciation est dites sourde exemple [p], [t], [k], [f], [s], [ʃ]
L‘action du voile de palais : si le voile du palais et relâché et abaissé, l’air porteur du vibration s’écoulera à
la fois par le nez et la bouche. on a alors des nasales comme [m], [n], mais quand le voile du plais est soulevé, les consonnes produites seront orales tels que [p], [k], [r], [s], [ʃ]. en conclusion, chaque consonne se définit selon quatre traits articulatoires :
- Mode d’articulation (occlusive ou constrictive)
- L’action du voile du plais ( nasale ou orale)
- L’action des cordes vocales (sourde ou sonore)
- Le point d’articulation (bilabiale, palatale, dentale, labiodentale, vélaire ….)
===> On remarque qu’il y a de manière presque systématique des « couples » de consonnes sourdes/sonores [p], [b]/[t], [d]/[k], [g]/[f], [v]/[s], [z]/[ʃ], [ʒ]
Semi-consonnes ou semi-voyelle : on Français il y a trois Semi-consonnes :
- [j] par exemple yeux [jø], passion [pasjɔ̃], feuille [fɶj]
- [ɥ]par exemple lui [lɥi], fruit [frɥi], luette [lɥɛt]
- [w] exemple roi [rwa], louange [lwɑ̃ʒ], fouine [fwin], bouée [bwe], soin [swɛ̃]
- Le yod : [j] est une constrictive orale sonore palatale. ce son est articulé de façon très voisine de i, la langue s’appuie contre le palais. on rencontre le yod en toute position susceptible d’être occupée par une consonne :
- En début du mot exemple iode [jɔd]
- Entre consonne et voyelle exemple chien, chienne [ʃjɛ̃, ʃjɛn]
- Entre voyelle exemple faïence [fajɑ̃s]
- Enfin de syllabe cuillère [kɥijɛr]
- Enfin de mot exemple portail [pɔrtaj]
- La graphie du yod : ce son prends des formes variables :
- Forme de i exemple miel [mjɛl], pied [pje]
- Forme de y exemple yeux [jø]
- Forme de ï exemple aïeul [ajɶl]
- Forme de il exemple portail [pɔrtaj]
- Le son [ɥ] : le [ɥ] est une constrictive orale sonore labiale et palatale. ce son est toujours placé entre consonne et voyelle , en particulier devant le i exemple fruit [frɥi]
- Le son [w] : le [w] est une constrictive orale sonore labiale et vélaire. ce son peut être rencontré en début de mot ex ouest [wɛst], après une consonne ex jouet [ʒwɛ], après un groupe de consonnes. quand il s’agit d’un groupe de consonne plus liquide on garde le [u] ex brouette [bruɛt]
- La graphie du [w] : ce son peut prendre plusieurs formes
- ou + voyelle exemple louange [lwɑ̃ʒ], fouine [fwin]
- oi, oî exemple roi [rwa], boîte [bwat]
- oin exemple soin [lwɛ̃], loin [lwɛ̃]
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